L’individualisation des rémunérations, l’inégalité de traitement entre académies, la mise en concurrence des personnels, la part résultats de l’IFRR, scandaleusement basse et inégalitaire, ne peut nous satisfaire.
Nous ne pouvons pas nous contenter pour toute revalorisation salariale de l’accès à l’échelon spécial pour 10% au plus de la profession.
La revalorisation indiciaire de chaque échelon ainsi que celle du point d’indice constituent les éléments d’une réelle reconnaissance de notre métier.